Moi, Stéphanie (aka Elaura),
administratrice du blog Bit-lit.com,
rédactrice,
maman, sorcière, metalhead, Janeite, chieuse à plein-temps. Aime le thé et les kilts.
Ma vie, mon œuvre, mes bafouilles.






dimanche 31 mars 2013

Avengers's Chronicle



Toi, lecteur, qui me suit depuis longtemps (ou pas), tu sais plus que tout autre que je suis une fan hardcore d'Avengers, de comics, et de leurs diverses adaptations de manière plus générale.

Or, je n'avais encore rien écrit dessus. Tu peux te demander pourquoi ; en effet, j'ai pour habitude de rédiger un petit avis sur les films que j'ai vus et qui m'ont plu, idem pour mes lectures.
Je n'ai, bien évidement, pas omis de le nommer dans mon article dédié aux adaptations ciné, mais aucun billet de ce blog ne lui est consacré.

Un an après sa sortie ciné, il paraît un peu incongru d'en faire une critique, après tout, l'actualité est ailleurs, avec la sortie prochaine d'Iron Man 3 par exemple.
Pourtant, s'il y a bien un film qui a durablement marqué les esprits, cartonné dans les salles et enthousiasmé des millions de fans, c'est bien celui-ci.

Coup de maître d'un Joss Whedon que nous étions loin d'attendre avec un tel film, Avengers a fait passer les productions de super-héros à un niveau supérieur, devenant culte, car avouons-le, c'est franchement bandant de voir réunis tous ces héros sur un seul et même écran.

Alors que le public criait au génie, une certaine presse était loin de partager son enthousiasme. Incohérences scénaristiques pour les uns, blockbuster manquant singulièrement de finesse pour les autres, l'ensemble se demande si finalement Avengers n'est peut-être pas le film le plus surestimé de l'histoire du cinéma. Mais quelle question ? Il est vrai que nous, public, sommes particulièrement cons (les critiques étant les gens intelligents). 



Fort heureusement pour nous (et pour notre ego) la presse ciné pour une bonne partie a plus qu'apprécié le film, rendant hommage au remarquable travail du réalisateur.

Si nous mettons de côté les critiques ciné, nous remarquons tout de même que le public n'a pas besoin d'avis techniques pour faire d'un film un véritable phénomène. Comme dirait Coluche, "ce n'est pas parce qu’on est pas musicien, qu'on a pas d'oreilles". Avengers à ouvert pas mal de portes, ou plutôt les a complètement défoncées, permettant à une bonne partie du public de faire connaissance avec l'univers du comics jusque là peut-être un peu trop réservé. Il suffit de voir le nombre de pages créées sur facebook pour les fans et par les fans pour se rendre compte que le film a drainé une véritable synergie et surtout, que les lecteurs de comics (dont je fais partie, je le rappelle) passent moins pour des geeks ou des blaireaux.

Dire que ce cross-over est un grand film est un euphémisme face à l'incroyable travail de l'équipe technique et des acteurs, le public ne s'y trompe pas, Avengers rembourse la totalité de son investissement dès son second week-end d'exploitation aux États-Unis (soit 220 000 000 $).

Et comme les deux heures de film ne permettent pas de nous satisfaire pleinement (il en aurait fallu au moins 200 !), continuer l'aventure par le biais d'un merchandising plutôt bien pensé par Marvel est un impératif. Figurines, mugs, goodies de toutes sortes fleurissent et se vendent en masse, certains articles étant en rupture de stock depuis longtemps (comme les figurines de Loki par exemple). Des conneries ? Non, juste un moment où on laisse s'exprimer l'enfant qui est en chacun de nous par l'intermédiaire de notre carte bleue.

Quant à moi, je vais bientôt recevoir une certaine mallette du S.H.I.E.L.D. Et un bon paquet de dossiers top secrets. Dans peu de temps, vous pourrez m'appeler agent Stéphanie.
Débile et inutile ? Sûrement. Mais putain, qu'est-ce-que c'est bon.

Alors ? Avengers, film surestimé par des millions d'idiots ? Sûrement. Mais je suis plutôt fière de faire partie des idiots.



Préparons-nous pour la seconde phase lecteur, celle-ci promet d'être aussi jouissive que la première. Le 24 avril, je vais commencer par faire un bisous à Tony Stark et, comme on dit, le reste n'est que littérature.






La duchesse Mackenzie


La duchesse Mackenzie

de Jennifer Ashley

Editions : J'ai Lu
Collection : Aventures et Passions
Sortie le 7 novembre 2012


Présentation de l'éditeur

Qui serait en accord parfait avec Hart Mackenzie ? Eleanor Ramsay ne sait pas - elle qui l'a éconduit il y a quelques années - et maintenant tout ce qu'elle veut du terrible duc est un travail. Enfin, c'est ce qu'elle se dit. Le convaincre de l'embaucher comme assistante de son secrétaire est délicat, mais Eleanor a un ou deux trucs dans son sac ...





Mon avis :

Un quatrième tome très attendu par les fans des Mackenzie, ces beaux Highlanders à la vie compliquée et au caractère bien trempé. Si les trois premiers opus nous avaient enchantés par leur passion dévorante et leur héros particuliers et intenses, celui-ci ne fait pas exception. Hart, l'aîné à la tête du duché, nous paraissait parfois antipathique et nous comprenons enfin pourquoi.
Le voile est enfin levé sur les secrets de la famille et le puzzle se met en place. À la lumière de ces révélations, cette fratrie nous paraît encore plus émouvante, surtout la relation de Hart avec Ian qui est touchante à bien des égards.

Mais il est aussi question de mariage ici, et l'histoire de Hart et d'Eleanor est pleine de passion, de rebondissements et... de hurlements ! (quel caractère ces écossais !). Mais pas d’inquiétude, les étincelles qui crépitent entre nos deux protagonistes sont aussi efficaces lors de leurs échanges plein de fougue que dans un lit, nous offrant tour à tour dialogues cocasses, instants coquins et sensuels, mais aussi des moments tendres et émouvants.

Encore une réussite donc pour Jennifer Ashley qui n'a pas fini de nous régaler vu qu'en janvier sort en VO le livre consacré à Elliot McBride, le frère de Ainsley, la femme de Cameron, que nous avons justement entraperçu dans ce tome. M'est avis que cet écossais là nous réserve bien des surprises...

Le mariage de la saison

Abandonnées au pied de l'autel 
tome 1
Le mariage de la saison
de Laura Lee Guhrke

Editions : J'ai Lu
Collection : Aventures et Passions
Sortie le 16 janvier 2013


Présentation de l'éditeur

Si Beatrix aimait tendrement son fiancé William, la folle passion de ce dernier pour l’Égypte était plus qu’envahissante. À tel point qu’elle lui avait demandé de choisir : les pyramides ou elle ! Et s’était vue abandonnée juste avant le mariage. Six ans plus tard, William est de retour. Seulement voilà, Beatrix se marie dans quelques semaines.



Mon avis :

Quel plaisir de retrouver Laura Lee Guhrke ! Après les fabuleuses Jeunes filles en fleurs, J'ai Lu nous offre le premier tome de la série spin-off de cette même saga, ne soyez donc pas étonnés de retrouver certains personnages de manière épisodique.
L'histoire prend place au début du 20ème siècle, dans une Angleterre où l'aristocratie est sur le déclin bien que ses membres tentent de se raccrocher aux quelques branches qui ont survécu à la forte industrialisation du pays. Cependant, une autre passion monopolise les aristocrates en mal d'aventures, l’Égyptologie. C'est le cas de notre jeune duc William, qui a préféré fouiller des tombes à Thèbes plutôt que de vivre une vie paisible et ennuyeuse aux côtés de sa fiancée.
Pourtant, son retour au pays six ans plus tard ravivera les vieilles douleurs et l'obligera de nouveau à choisir entre l'amour de sa vie et sa passion pour l'archéologie.

Un début de série plus que réussi pour cette très jolie histoire peu conventionnelle mais touchante, entre deux êtres que tout oppose sauf peut-être l'amour qu'ils se portent l'un à l'autre.
Mais il est bien connu que pour former un couple et être heureux en ménage, l'amour ne suffit pas. Des centres d’intérêts communs et surtout une idée commune du mariage et de la vie de famille peut avoir son importance. Or, nos deux tourtereaux ne sont pas d'accord.
D'un côté William est un passionné, qui n'a pas hésité à quitter son pays et son duché pour partir en terre inconnue, laissant derrière lui une fiancée qui a refusé de le suivre, et ses responsabilités de duc qu'il a toujours rejetées en bloc. De l'autre, Béatrix est une jeune femme étouffée par les conventions, élevée par un père tyrannique qui ne lui laissait aucunes libertés de peur qu'elle prenne son envol. Elle ne rêve que d'un mariage avec un homme de son rang, tempéré, calme, l'amour n'étant qu'une option à partir du moment où sa sécurité et celle de ses futurs enfants est assurée.

Autant vous dire que leurs retrouvailles ne seront pas de tout repos, mais comme toujours, la plume particulière de l'auteur en fait un moment savoureux, passionnel et surtout, profondément humain. Les personnages secondaires piquent notre curiosité, surtout la très délurée Julia, cousine de Béatrix, et le très réservé Aidan duc de Trathen, héros du tome 2 Le scandale de l'année à paraître le 6 mars prochain. Leur histoire nous promet d'être très... sulfureuse.

Une saga à suivre de très près, assurément !

samedi 30 mars 2013

Pour un tweet avec toi

Pour un tweet avec toi
de Teresa Medeiros
Editions : Milady Romance
Collection : Central Park
Sortie le 23 novembre 2012


Présentation de l'éditeur

Auteure d'un presque Pulitzer, Abigail Donovan se débat contre l'angoisse de la page blanche. Aussi, lorsque son agent lui ouvre un compte Tweeter, elle se laisse happer par les tweets, retweets, hashtags, etc. Guidée par l'un de ses followers, "MarkBaynard" - un professeur d'université en congé sabbatique et twitteur hilarant -, Abigail retrouve l'inspiration et le goût de vivre. Mais pourquoi rester devant son écran alors que Mark parcourt le monde ?




Mon avis :

Voilà un roman que nous ne sommes pas près d'oublier. 336 pages de bonheur qui se lisent à une vitesse folle, bourrées d'humour, d'émotions et de références pop culture.
Nous connaissions déjà l'auteur par le biais de ses très bonnes romances historiques, autant vous dire que l'immersion dans ses romances contemporaines est tout aussi jouissive. La dame nous surprend, nous bouscule, et nous prouve que des pages de tweet peuvent être passionnantes à lire (si si !).
Ses personnages sont terriblement attachants et l'identification se fait immédiatement tant leurs doutes, leur maladresse ou leur souhait d'anonymat nous sont familiers. On rit beaucoup, on est touchés souvent et l'on pleure aussi, car sous couvert de légèreté, cette magnifique petite histoire est également le récit d'une souffrance partagée.

Pour un tweet avec toi entre dans la famille des « livres doudous », de ceux que l'on ressort quand il fait trop gris dans nos vies, qui vous réchauffent et vous redonnent le sourire pour quelques heures.

Le Hobbit : Un voyage inattendu



Synopsis

Dans UN VOYAGE INATTENDU, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu'ils se destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…

Mon avis

Cela faisait près de 10 ans que nous avions quitté La Terre du Milieu, non sans une certaine nostalgie, tant la trilogie du Seigneur des Anneaux avait ravi les fans de Tolkien, mais également ceux qui découvraient son univers. Bien sûr, il nous restait les DVD que nous pouvions revisionner avec la même ferveur chaque année, pèlerinage obligatoire qui, même si nous connaissions les répliques par cœur, nous procurait les mêmes sensations tout en se disant que nous avions certainement vécu le meilleur du cinéma à ce jour. Aussi, quand Peter Jackson avait annoncé qu'il souhaitait produire Le Hobbit, une excitation certaine s'était emparée des fans car la perspective de retourner en Terre du Milieu pour vivre l'aventure de Bilbo et des 13 nains était plus que jouissive.



Une joie qui est malheureusement retombée comme un soufflet quand le projet s'est vu enlisé dans des soucis de pré-production pénibles et le départ du réalisateur Guillermo Del Toro a laissé un goût amère à tel point que l'on se demandait vraiment si ce projet verrait le jour.
Mais c'était sans compter sur la passion et la détermination de Peter Jackson qui a finalement repris le film en main, décidant de le réaliser lui-même. Une bonne chose au final, car nous étions certains alors de retrouver la même qualité narrative du Seigneur des Anneaux.

Le jour tant attendu est enfin arrivé et, parés de nos lunettes 3D, c'est presque avec une crainte révérencielle que nous attendons le début du film. Dès le prologue, le ton est donné, nous sommes enfin en Terre du Milieu...


2h45 de bonheur où la magie se mêle à l'émotion, car Bilbo est avant tout un conte pour enfants. Nous goûtons le plaisir de retrouver « en vrai » les moments qui ont durablement marqués notre enfance à tel point que pendant cet instant privilégié, nous laissons de côté nos soucis d'adultes pour laisser parler le bambin qui vit en chacun de nous. Le cinéaste a fait des merveilles dans sa manière d'appréhender l'histoire, rajoutant suffisamment d'éléments et de cohérence pour relier les deux trilogies tout en gardant l'humour, l’atmosphère ludique et bon enfant du roman.


Une réussite artistique, narrative mais également un excellent choix de casting. Nous retrouvons bien sûr Ian McKellen dans le rôle de Gandalf, ainsi qu'Andy Serkis dans celui de Gollum qui s'est vu également confier la direction de la seconde équipe de tournage. Mais la véritable surprise reste la performance de Martin Freeman qui nous campe un Bilbo brillant et attachant, un brin pantouflard, peu sur de lui et qui se révèle bien plus impétueux au cours du récit. Coup de maître également pour la bande des nains dont la bonne humeur est communicative et le charisme impressionnant de leur chef Thorin, interprété par un superbe Richard Armitage, donne corps et passion à leur quête.



Peter Jackson aime ses personnages et ça se voit, chacun prend une place importante et l'envie de faire de ce récit une trilogie n'y est pas étranger. Ces protagonistes forts auront donc tout le loisir de nous émerveiller encore pendant longtemps.


Un grand spectacle dont nous aurions bien pris une dose de plus tant les 2h45 sont passées à une vitesse folle. Une introduction plus que réussie, pleine de promesses et qui rend hommage de manière touchante à la fantasy telle que nous l'aimons.
Peter Jackson aura passé 15 ans de sa vie à adapter l’œuvre de Tolkien à l'écran. Rien que pour cet exploit, il mérite tout notre respect et un énorme câlin de gratitude.





Fiche Technique

Le Hobbit : un voyage inattendu
Film américain et néo-zélandais de Peter Jackson (2012)
Avec : Ian McKellen, Martin Freeman, Richard Armitage...
Genre : Fantastique, aventure, fantasy
Durée : 2h45 mn
date de sortie en France : 12 décembre 2012

Les Cinq Légendes



Synopsis

L’aventure d’un groupe de héros, tous doués de pouvoirs extraordinaires. Emmenées par Jack Frost, un adolescent rebelle et ingénieux, ces cinq légendes vont devoir, pour la première fois, unir leurs forces pour protéger les espoirs, les rêves et l’imaginaire de tous les enfants.

Mon avis :

S'il est un film pour enfants à voir actuellement sur nos écrans c'est bien ce fabuleux dernier opus de DreamWorks. Visuellement époustouflant, Les Cinq Légendes renoue avec la magie de Noël, alternant scènes d'action et poésie avec maestria, sans oublier une certaine qualité narrative.

Certes, le scénario est léger, mais il n'en reste pas moins festif, il parle à l'enfant qui sommeille en chacun de nous et nous colle un sourire niais sur le visage.
Avec une 3D magnifiquement utilisée qui rajoute à la féerie du film, les studios DreamWorks nous offrent un beau conte de Noël, foisonnant de couleur, de personnages légendaires présentés comme des super-héros, sans oublier un super-vilain mythique (le Croquemitaine) doucereusement gothique. Un film qui ravira les petits comme les grands.





Fiche Technique

Les Cinq Légendes
Film d'animation américain de Peter Ramsey (2012)
Avec : Chris Pine, Isla Fisher, Alec Baldwin
Genre : Animation, aventure
Durée : 1h37 mn
date de sortie française : 28 novembre 2012

lundi 18 mars 2013

Gérard Butler : du mâle à l'état brut...



On l'aime, on en parle souvent comme un des plus grands fantasmes de ses 10 dernières années, il faut dire aussi qu'en jupette en cuire, en cape, avec des crocs ou tout simplement en jean moulant, il est très caliente.

C'est aussi un acteur bourré de talent, qui joue avec les genres de manière subtile, sans vraiment se soucier de l'opinion d'autrui. Petit retour sur la biographie de ce mâle alpha au regard troublant et à la voix enchanteresse....

Écossais pure souche, Gerard Butler étudie le Droit à l'université de Glasgow pour devenir juriste ou notaire lorsque, de passage à Londres, il est remarqué dans un café par l'acteur Steven Berkoff, qui lui confie son premier rôle sur les planches, dans le Coriolan de William Shakespeare.

Abandonnant alors ses études, il décide de devenir acteur, et fait ses premiers pas au cinéma en 1997 dans le film historique La Dame de Windsor. Il enchaîne ensuite les seconds rôles dans grosses productions, après une furtive apparition dans Demain ne meurt jamais, on peut l'apercevoir en train de combattre des dragons auprès de Christian Bale dans Le Règne du feu, avant d'incarner un ex-agent du MI6 auprès d'Angelina Jolie dans Lara Croft Tomb Raider le Berceau de la Vie. Mais entre temps, le comédien s'échappe du cinéma à grand spectacle pour se tourner vers des films plus ambitieux comme Harrison's Flowers, un film qui lui permettra de démontrer ses talents d'acteurs. Devenu la nouvelle incarnation du plus légendaire des vampires avec Dracula 2001, Gerard Butler attire l'attention de Joel Schumacher, qui l'engage pour son adaptation de la comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber, Le Fantôme de l'Opéra, dans laquelle il fait preuve de capacités vocales inattendues. 




En 2005, l'acteur retrouve son pays natal avec la comédie dramatique Dear Frankie de Shona Auerbach où Emily Mortimer lui demande d'être le père fictif de son fils. Deux ans plus tard, Gerard Butler rejoint le tournage de l'adaptation du roman graphique de Frank Miller, 300, réalisé par Zack Snyder. Un péplum nouvelle génération où il incarne le roi Léonidas. Un genre qui semble lui convenir puisqu'il poursuit avec Beowulf & Grendel où il tient le rôle du héros Beowulf, un guerrier scandinave du sixième siècle, source de nombreuses adaptations cinématographiques. 



Toujours en 2007, l'acteur rejoint le plateau de la comédie romantique P.S. I Love You où il donne la réplique à Hilary Swank. Gerard Butler partage ensuite l'affiche de L'Ile de Nim, film d'aventures pour enfants, avec Jodie Foster où il joue le père d'Abigail Breslin. Enchaînant les succès, dans des registres à chaque fois différents, l'acteur se voit ensuite offrir le premier rôle du nouveau film de Guy Ritchie, RockNRolla, il s'illustre en homme de main se faisant manipuler par Tom Wilkinson. En 2009, Gérard Butler est en tête d'affiche de la comédie romantique L'Abominable vérité, où il essaye d'aider Katherine Heigl dans ses conquêtes amoureuses. La même année, il devient une machine à tuer pour les besoins de Ultimate Game. En 2010, le comédien fait ses débuts dans le cinéma d'animation en prêtant sa voix à Stoick le vaste pour How to Train Your Dragon.

En 2011, il participe à différents projets comme Machine Gun Preacher de Marc Forster et en 2012, il est à l'affiche d'Ennemis jurés de Ralph Fiennes, un peplum moderne très remarqué. Ses projets pour 2013 ? Movie 43 dans le sketch réalisé par Brett Ratner (sortie prévue pour le 19 juin 2013), et La Chute de la Maison Blanche d'Antoine Fuqua, très bientôt sur nos écrans, vivement !!!

Source : Wikipédia et Allociné